Je n'ai pas encore fait offrande de mon corps à l'homme tout petit.
En effet, dés lors que je sens une relation possible,des sentiments naissants, que l'autre m'émeut, mon corps se referme à ce dernier.
Et ce n'est pas qu'une image.
Le moindre enjeu, la moindre pression deviennent alors remèdes à mon excitation.
J'ai presque envie de te chanter "Pour me comprendre", de Michel Berger mais tu comprendrais toujours pas, car j'en suis moi-même incapable.
Hier, je m'offrais Giovanni à l'apéro et un autre pour la nuit.
L'homme tout petit est doublement cocu.
L'homme tout petit me plaît.
Ca devient hard tout ça. Mon esprit chaste s'y perd.
RépondreSupprimernon, je ne les trouve pas vulgaire
RépondreSupprimerquand bien même, l'aurais-je avoué ?
mais non, je ne les considère pas comme vulgaires
(pfff, egocentrique jusqu'au bout, toi !)
bise aux fesses du nain :)
Ce n'est pas hard, Richard, c'est tellement intellectuel au contraire.
RépondreSupprimerJen : je n'ai pas encore baisé les fesses du nain, je n'ai pas encore osé le revoir.
A moins que tu te sois tapée ces garçons sans jamais perdre le contrôle et sur la base d'une réflexion aux petits oignons, j'ai du mal à te croire. Ceci dit, vous avez une sexualité parfois difficile à suivre les filles. Nous c'est plus simple, tout vient du ventre...
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