Qu'est-ce que t'as à rigoler?
En vue de ma très prochaine inspection en CM1, je cravache de folie en ce moment et c'est fou comme je me découvre consciencieuse et pointilleuse à la tâche.
Faite pour le métier, ça doit être ça.
Juste une petit pause bloguienne pour vous avertir que je ne vais pas mettre les yeux et encore moins les doigts sur cet espace avant un temps : long, si je n'arrive pas à me détendre, très long si jai qué-cra mon string à la tâche, mi-long si je fais, pour une fois, la part des choses.
Anais m'a donné son avis sur l'évolution de mon blog ; elle estime qu'il se transforme hélas en tassepé-blog, celui sur lequel je crachais lorsque que j'en découvrais la superficialité.
C'est vrai que le coup des bottes et des chaussures, c'est pas Nietzchéen pour un sou (mais allons donc, c'est freudien voyons!) mais ce n'est pas pétasseux pour autant, j'aime bien que l'on voit les outils qui me servent à écraser l'amas de merde quotidien.
Et comme j'écrase cette merde, devant moi, ne se profile que le rose.
C'est donc en un sens grâce à mes bottes que je suis heureuse, merde!!
Mais bon, je réfléchirai à deux fois avant de publier ma prochaine photo, sûre néanmoins qu'elle ne vous laissera pas entrevoir la couleur de mes shorty-string ni mes erraflures à fleur de capot, pourquoi pas une montre tiens, ou un mec de dos, c'est beau un mec de dos, non...?
Je l'aime bien Michaël : j'ai failli le quitter mardi dernier, juste pour tester son attachement : comme j'ai constaté que ma perte allait lui causer bien du souci, je lui ai laissé un sursis, qui j'espère sera aussi long que tous ceux cumulés par Joey Starr. Bizarre comme comparaison, mais pas pour moi, j'aime le pe-ra. "Fous ta cagoule" me donne la che-pê ;-) et un conseil, écoutez cette chanson de Faf Larage intitulée : "ta meuf "et revenez me voir..
Ce connard se casse au ski ce week-end, il va me permettre de réunir tous les ingrédients pour que mon inspection de mardi soit aux petit oignons mais m'empêcher de rigoler, pas de rire, de rigoler.
Parce qu'avec lui, je rigole.
Et rigoler, cela me procure plus de chatouilles que de rire.
Lorsque je le reverrai, dans 4 (trop longs) jours, Rocky Balboa nous tiendra compagnie, vous ça vous fait rire de m'imaginer dans cette situation hautement cul-turelle et moi je suis heureuse d'être contente à l'idée de rigoler.
Sa façon de parler est rigolote, pas drôle.
Son égocentrisme est rigolo, pas drôle.
Rigoler, c'est rire sans se prendre au sérieux.
Rien que pour ça, je le remercie mon petit.
Un jour, il me remerciera d'avoir été si bon(nne) public.